Atelier de réflexion : De manière régulière, des rencontres sont organisées environ 1 à 2 x par mois afin de réfléchir à la société, aux inégalités et ce au départ de livres, deAtelier de réflexion : De manière régulière, des rencontres sont organisées environ 1 à 2 x par mois afin de réfléchir à la société, aux inégalités et ce au départ de livres, detextes récents. Afin de partager les points de vue en lien avec les nôtres en tentant une mise en perspectives globale avec ses contradictions. Construire des perspectives nouvelles en tentantd'approcher la complexité des points de vue et des situations. Processus : Nous envisageons ces ateliers de réflexion dans une perspective de pratique culturelle « tous les mots sont adultes » etnous avons une réflexion qui mérite d’être partagée. Nous avons envie de tenter quelque chose pour faire bouger les lignes dans la société vers moins d’inégalité, moins de sexisme. Ces atelierssont envisagés comme des guides énigmatiques pour arpenter les territoires d’auteurs et des nôtres, du réel et la langue où ils souhaitent conduire les citoyens. Ce travail collectif infléchit leprojet initial et impose sa propre logique, la radio permet une vision d’expression dynamique et d’échange de fragments. L'occasion de réfléchir à la place des femmes dans la société, auxviolences policières, la surveillance de masse, la réduction des libertés publiques, les réformes qui détricotent les acquis sociaux, l'autocensure des médias,… C'est l'occasion de seréapproprier notre place de citoyens dans la société ainsi que de partager nos différents points de vue avec un public plus large en réalisant une émission radio qui permet de développer deséchanges, notamment via le tchat ou une page Facebook. Ces fragments sont ouverts, partageant notre pensée du moment avec ces contradictions. Les ateliers de réflexions ont été porté parles lectures suivantes : « Ces femmes-là » de Gérard Mordillat « A la recherche d’Alice Love » Liane Moryary ; « Le Ciel sous nos pas » de Leila Slimani ; « Qui ne se plante pas ne poussejamais » de Sophie Tel Men ; « La malédiction d’être une fille » de Dominique Sigaud, « De loin on dirait des mouches » de Kike Ferrai"